Depuis six ans, l’agent Corte, spécialisé dans la protection des personnes, est obsédé par Henry Loving, individu impitoyable qui a tué son mentor et ami. Lorsqu’il est chargé d’assurer la sécurité de la famille Kessler, prise en chasse par Loving, Corte y voit l’occasion de se venger. La mission tourne très vite au duel entre les deux hommes, où chacun tente d’anticiper les mouvements de l’adversaire à l’aide de stratégies de plus en plus complexes. Les Kessler, pris entre deux feux et cloîtrés dans une planque, ignorent lequel d’entre eux est la cible de Loving. Leurs relations se tendent jusqu’au point de rupture. Corte, malgré l’opposition de sa hiérarchie, décide d’appliquer sa propre stratégie : vengeance, impair et passe.
Je n’avais rien lu jusqu’à présent de Jeffery Deaver, c’est donc totalement « neutre » que j’ai abordé ce « Vengeance, impair et passe » et c’est une très bonne découverte. Au premier abord, l’histoire n’a rien d’original : confrontation entre le bon et le méchant. Le bon, c’est l’argent Corte, spécialiste de la protection des témoins, et le méchant, c’est Loving, spécialiste de la torture. Leur première rencontre a été « explosive » et a laissé Corte avec un seul but : se venger. Mais Deaver n’a pas son pareil pour nous emmener au fil des pages là où il veut, il nous hypnotise totalement et ce, dès le prologue. On entre directement dans le vif du sujet en faisant connaissance de Loving et de son « art ». Quelques années plus tard, sa route croise à nouveau celle de Corte, et débute alors un affrontement de chaque instant entre les deux hommes. Corte est un stratège adepte des jeux de plateau et il ne laisse rien au hasard, mais il a en face de lui un redoutable adversaire. Parallèlement au duel entre les deux hommes, on découvre les « cibles », la famille Keller, que doit protéger Cole, et là aussi, il ne faut pas se fier aux apparences, la cible n’est peut-être pas celle que l’on croit. Le point fort de Deaver c’est de dérouler son intrigue comme un film, j’ai vraiment eu la sensation de suivre un film d’action, sans temps mort jusqu’au dénouement. Et si Deaver prend plaisir à nous « embrouiller », il le fait finement, d’une façon « stratégique » pour nous emmener sur une fin parfaite. Mais surtout, là où il m’a menée par le « bout du nez », c’est sur le personnage de Corte, si tout au long du roman, on s’attache à sa personnalité, on pense l’avoir cerné, quand arrivent les toutes dernières pages, on s’aperçoit qu’on s’est fait berné… mais avec plaisir ! Une vraie bonne découverte et un coup de cœur que ce « Vengeance, impair et passe » et je vais examiner de très près les autres parutions de Jeffery Deaver.
Je n’avais rien lu jusqu’à présent de Jeffery Deaver, c’est donc totalement « neutre » que j’ai abordé ce « Vengeance, impair et passe » et c’est une très bonne découverte. Au premier abord, l’histoire n’a rien d’original : confrontation entre le bon et le méchant. Le bon, c’est l’argent Corte, spécialiste de la protection des témoins, et le méchant, c’est Loving, spécialiste de la torture. Leur première rencontre a été « explosive » et a laissé Corte avec un seul but : se venger. Mais Deaver n’a pas son pareil pour nous emmener au fil des pages là où il veut, il nous hypnotise totalement et ce, dès le prologue. On entre directement dans le vif du sujet en faisant connaissance de Loving et de son « art ». Quelques années plus tard, sa route croise à nouveau celle de Corte, et débute alors un affrontement de chaque instant entre les deux hommes. Corte est un stratège adepte des jeux de plateau et il ne laisse rien au hasard, mais il a en face de lui un redoutable adversaire. Parallèlement au duel entre les deux hommes, on découvre les « cibles », la famille Keller, que doit protéger Cole, et là aussi, il ne faut pas se fier aux apparences, la cible n’est peut-être pas celle que l’on croit. Le point fort de Deaver c’est de dérouler son intrigue comme un film, j’ai vraiment eu la sensation de suivre un film d’action, sans temps mort jusqu’au dénouement. Et si Deaver prend plaisir à nous « embrouiller », il le fait finement, d’une façon « stratégique » pour nous emmener sur une fin parfaite. Mais surtout, là où il m’a menée par le « bout du nez », c’est sur le personnage de Corte, si tout au long du roman, on s’attache à sa personnalité, on pense l’avoir cerné, quand arrivent les toutes dernières pages, on s’aperçoit qu’on s’est fait berné… mais avec plaisir ! Une vraie bonne découverte et un coup de cœur que ce « Vengeance, impair et passe » et je vais examiner de très près les autres parutions de Jeffery Deaver.
Merci à Babelio et aux Editions des Deux Terres pour cette découverte.
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