tag:blogger.com,1999:blog-69868850093173951472024-03-14T02:33:59.006+01:00Les Chroniques du 911by IzaghIzaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.comBlogger116125tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-44627993530890388782017-03-08T13:39:00.001+01:002017-03-08T13:40:09.270+01:00Jonah Lomu, l'autobiographie<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="font-size: large;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-xZcA0ZkMlG3TxuQLzvklvWHXwuxzrBu7ndF6clnPglDWSCQMidfnxUW4AW57LVdICaAAlqTIDP00ja0SW8Y0j-0OsfkgBAEpdR6aMArZ3_K_bdE26995NyEDJOG0agQgaXBd6XWsyPGm/s1600/Jonah-Lomu_web.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-xZcA0ZkMlG3TxuQLzvklvWHXwuxzrBu7ndF6clnPglDWSCQMidfnxUW4AW57LVdICaAAlqTIDP00ja0SW8Y0j-0OsfkgBAEpdR6aMArZ3_K_bdE26995NyEDJOG0agQgaXBd6XWsyPGm/s200/Jonah-Lomu_web.jpg" width="123" /></a></span></div>
<div style="text-align: left;">
<span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;"><i>Disparu en novembre 2015 à 40 ans, Jonah Lomu restera pour toujours une icône du rugby. Le Néo-Zélandais a été la première superstar de l'ovalie. Dans son autobiographie, il se livre comme jamais, retrace son parcours sportif et évoque sa vie en dehors des terrains. Une vie intense, parfois explosive. Lomu aborde avec beaucoup de sincérité les moments importants : bonheurs, déceptions, conflits, trahisons, réconciliations, sans oublier la maladie, omniprésente durant toute sa carrière. Face aux difficultés, Jonah est toujours resté joyeux et optimiste.<br />Plus de dix ans se sont écoulés depuis le dernier match de Jonah Lomu avec les All Blacks mais il reste le visage du rugby le plus reconnaissable de la planète.</i></span></span></div>
<div style="text-align: left;">
<br /></div>
<div style="text-align: left;">
<span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;">Jonah Lomu : que l'on s'intéresse ou pas au rugby, tout le monde connaît ce nom. N'est pas une légende qui veut !</span></span></div>
<div style="text-align: left;">
<span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;">Dans cette autobiographie, Jonah Lomu se livre sans détours, il raconte son enfance difficile, les relations tendues avec son père, ses erreurs, ses joies, ses débuts dans ce sport qui va tout lui apporter et qui va guider sa vie. Chapitre après chapitre, on retrouve une personnalité attachante qui n'était pas seulement un prodige du rugby, mais un homme vrai et sincère. Il se confie sur cette maladie, épée de Damoclès en permanence au dessus de sa tête, mais jamais il ne se laissera abattre, supportant des traitements très lourds l'obligeant à s'éloigner des terrains pendant des mois et le laissant diminuer. Mais le combat était inégal et il devait y succomber en 2015.</span></span></div>
<div style="text-align: left;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;">Par dessus tout, il nous fait partager cet état d'esprit des All Black et sa fierté de jouer sous ce maillot noir qui représente un honneur pour tout joueur néo-zélandais. Il nous raconte les souvenirs de matches, mais je crois que celui qui restera en mémoire, c'est cette finale de la Coupe du Monde de 1995 contre l'Afrique du Sud dont on connaît le résultat…</span></span></span></div>
<div style="text-align: left;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;">S'il ne fallait retenir qu'une phrase de ce livre, je pense que celle de Jeff Wilson résume parfaitement à elle-seule ce livre <i>"Il n'y aura jamais d'autre Jonah Lomu. Jamais".</i></span></span></span></div>
<div style="text-align: left;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;"><i><span style="font-size: small;"><i style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;">Merci à Babelio et à Talent Sport pour ce moment de lecture.</i></span></i></span></span></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuaP9V4WhAEKn-m7F5mc6_0fsCv_PHLyVJ93AzvBIHLv7IP4sG-Rxz7Mn2ipxfkjyH6uHWfQSdcxq4b-toQeRmO0UJAtr8arV4cdmEEO5FTi2axS4HyyYMGoXgnHYpQi9yhDKC21P69QDy/s1600/masseCritique.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="63" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuaP9V4WhAEKn-m7F5mc6_0fsCv_PHLyVJ93AzvBIHLv7IP4sG-Rxz7Mn2ipxfkjyH6uHWfQSdcxq4b-toQeRmO0UJAtr8arV4cdmEEO5FTi2axS4HyyYMGoXgnHYpQi9yhDKC21P69QDy/s200/masseCritique.jpg" width="200" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;"><i><span style="font-size: small;"><i style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"> </i></span> </i></span></span></span></div>
<div style="text-align: left;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;"><i> </i></span></span></span></div>
<div style="text-align: left;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;"> </span> </span></span></div>
<span style="font-size: large;"><span style="font-family: Georgia,"Times New Roman",serif;"> </span></span>Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-22456327543935215422016-11-13T20:22:00.000+01:002017-03-08T13:40:13.312+01:00Golda Meir, une vie pour Israël - Claude-Catherine Kiejman<div style="text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSzllN8qyJCnK-cqw3MF1HlvwancHylTMEbXMl5GDucGsL6Rofz07Uumdi-r6ai1tT-bFXZv6NphTbNSTlVjjHJZOmJb0vUq9LChBcNXw1T_0WpNyMsfzHtgQna1ysm5X94sLwtASSuHah/s1600/GoldaMeir.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: justify;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSzllN8qyJCnK-cqw3MF1HlvwancHylTMEbXMl5GDucGsL6Rofz07Uumdi-r6ai1tT-bFXZv6NphTbNSTlVjjHJZOmJb0vUq9LChBcNXw1T_0WpNyMsfzHtgQna1ysm5X94sLwtASSuHah/s200/GoldaMeir.jpg" width="120" /></span></a><span style="font-size: large;"></span><br /><span style="font-size: large;"><i>« Le jour où on écrira l’Histoire, on dira que c’est une femme qui a permis à l’État juif de voir le jour. »</i></span><br /><span style="font-size: large;"><i>David Ben Gourion.</i></span><br /><span style="font-size: large;"><i>Qui aurait pu imaginer un tel destin ? Née à Kiev en 1898, Golda Meir fuit avec sa famille la terreur des pogroms et trouve refuge aux États-Unis en 1906. À 23 ans, elle émigre en Palestine avec son mari et s’installe dans un kibboutz. Militante infatigable de la cause sioniste, elle signe la déclaration d’indépendance d’Israël le 14 mai 1948.</i></span><br /><span style="font-size: large;"><i>Ministre du Travail, ministre des Affaires étrangères, secrétaire générale du Parti travailliste, elle est nommée Premier ministre en 1969, à l’âge de 71 ans.</i></span><br /><span style="font-size: large;"><i>Femme de caractère, Golda Meir a toute sa vie répugné à se livrer. Près de quarante ans après sa mort, Claude-Catherine Kiejman enquête avec finesse sur les ressorts de cette personnalité hors du commun. On découvre alors une grande figure de l’histoire du XXe siècle.</i></span><br /><span style="font-size: large;"></span><br /><span style="font-size: large;">Raconter la vie de Golda Meir c’est raconter l’histoire de l’Etat d’Israël. Pourtant rien ne destinait cette femme à devenir cette figure incontournable de la construction d’Israël. Née à Kiev, elle a 7 ans quand elle part avec sa mère et ses deux sœurs rejoindre son père qui a émigré quelques temps auparavant aux Etats-Unis. Même si tout n’est pas facile dans ce pays pour ces nouveaux émigrants juifs, pour Golda Meir, ce pays est le pays de tous les possibles : elle va refuser l’avenir que lui préparent ses parents et s’enfuir de la maison familiale. Dès son adolescence, elle sera une ardente défenseuse du sionisme-socialiste et rejoindra quelques temps plus tard un kibboutz en Palestine. Toute sa vie durant, elle se battra pour créer cet état où chaque Juif pourra vivre en sécurité et ce, au prix du sacrifice de sa vie de femme et de mère. Enfin, après bien des combats et des renoncements, cet Etat d’Israël sera créé en 1948. Mais son engagement politique ne s’arrêtera pas là, elle occupera différents ministères sous l’autorité de Ben Gourion avant de devenir Premier Ministre en 1969 à l’âge de 71 ans. Elle s’éteindra à 80 ans, quelques mois après sa rencontre historique avec Anouar al-Sadate à la tribune de la Knesset.</span><br /><span style="font-size: large;"></span><br /><span style="font-size: large;">Claude-Catherine KIEJMAN nous livre ici la vie d’une femme hors du commun et à travers ce récit, elle nous éclaire sur le conflit israélo-palestinien et nous aide à en comprendre les enjeux et le contexte. Très documentée, cette biographie passionnante se lit comme un roman sans aucun temps mort. </span><br /></div>
<div style="text-align: center;">
<i style="font-family: Times, 'Times New Roman', serif;">Merci à Babelio et aux Editions Tallandier pour ce passionnant moment de lecture.</i><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoqaDT9h6j-CwArjACt0kms9NoqsDVEkiQZ_DcH8kKhTVqPUopovF2VzAqXbY6t15Nyph7ee0x-jXc23uJbSUIfuS6KXB7UznMkKM-2Vk9cs-mTmiiLinhsN4eoUbKd_VqYxLN8hd68x8X/s1600/masseCritique.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;"><img border="0" height="63" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoqaDT9h6j-CwArjACt0kms9NoqsDVEkiQZ_DcH8kKhTVqPUopovF2VzAqXbY6t15Nyph7ee0x-jXc23uJbSUIfuS6KXB7UznMkKM-2Vk9cs-mTmiiLinhsN4eoUbKd_VqYxLN8hd68x8X/s200/masseCritique.jpg" width="200" /></span></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">
</span><br /><span style="font-size: medium;"><i></i></span><br /><span style="font-size: medium;"><i></i></span><br /><br /><br /></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-69895227633268868752016-07-25T17:59:00.001+02:002016-07-25T17:59:45.558+02:00Miettes de sang, Claire Favan<div style="text-align: justify;">
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZLW4jdAawWs79Foi4neJctLAagmKnPFWgMZlmA-vbIWZ8WZ-8f1Rl9R4ZNIwy8c8Usio5t0lX24oQIsP6Dw66_5wBT2L7tj1dmpqpPBVO-oGpbhlatdrK870hZeXZBgZubsKpydtFpJbv/s1600/Miettes.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZLW4jdAawWs79Foi4neJctLAagmKnPFWgMZlmA-vbIWZ8WZ-8f1Rl9R4ZNIwy8c8Usio5t0lX24oQIsP6Dw66_5wBT2L7tj1dmpqpPBVO-oGpbhlatdrK870hZeXZBgZubsKpydtFpJbv/s200/Miettes.jpg" width="121" /></a></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 19pt; text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i><span style="color: #333333; font-family: "times";">Poplar Bluff, petite
ville du Missouri. Aux yeux de ses habitants, Dany Myers est un raté, un
faible, indigne du souvenir qu'a laissé son père, ancien et bien-aimé capitaine
de la police locale. Poussé par sa mère à rejoindre à son tour les forces de
l'ordre, il y exécute sans broncher les tâches subalternes, encaisse les
vexations et fuit tout conflit. Jusqu'à ce qu'une étrange vague de meurtres,
suivie de suicides, endeuille la communauté. Cette affaire, que tous
souhaitent étouffer, sera son affaire.
Pour la première fois de sa vie, Dany brisera le silence – à ses risques et
périls... </span></i><span style="color: #111111; font-family: "times";"></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">
</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 19pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">
</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 19pt; text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><span style="color: #111111; font-family: "times";">Dany Myers, est l’anti
héros par excellence : aucun charisme, totalement sous la coupe d’une mère
possessive, incapable d’aller jusqu’au bout de ses sentiments amoureux et considéré
comme le mauvais flic de service par ses collègues. Il subit humiliations et
brimades sans sourciller, et son avenir ne semble pas des plus réjouissants.
Mais quand éclate au sein de familles de Poplar Bluff une série de massacres
suivis du suicide du meurtrier, il veut prouver qu’il est capable de résoudre
cette enquête. Il va se heurter à des flics corrompus, à la loi du silence et
va se retrouver face à un passé qu’il avait totalement effacé de sa mémoire. </span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">
</span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 19pt; text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><span style="color: #111111; font-family: "times";">Claire Flavan nous
plonge une nouvelle fois dans une intrigue palpitante, sans temps mort. Peu à
peu, au fil des pages elle nous entraine dans la noirceur de l’âme humaine et
nous livre des personnages à la psychologie torturée. Les chapitres courts et l’écriture
fluide, rendent la lecture totalement addictive et on retrouve tout le talent
de l’auteure dans une fin sans pitié pour le lecteur. </span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 19pt; text-align: center;">
<span style="font-size: small;"><span style="color: #111111; font-family: "times";"><a href="http://espipelettesenparlent.com/2015/12/les-dames-en-noir-2e/">espipelettesenparlent.com/2015/12/les-dames-en-noir-2e/</a> </span></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<div class="MsoNormal" style="line-height: 19pt; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-size: large;">
</span>Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-50405434982184205862016-07-20T17:58:00.003+02:002016-07-21T09:11:10.129+02:00Criminel, Karine Slaughter<span style="font-size: large;">
</span><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwmAI64WZ2Xz9DdX2MdKnswhQG7eoDawkaP2JzKy_OUlNnjiMm34ueuD2DIuDqPAYhmty4wCOktojSveTMf0FfNWOdgRUMsnW3uaOrp1HToeIPopgvI7-rVLLbvYvo3877QD7wqjPm0S6m/s1600/criminel.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwmAI64WZ2Xz9DdX2MdKnswhQG7eoDawkaP2JzKy_OUlNnjiMm34ueuD2DIuDqPAYhmty4wCOktojSveTMf0FfNWOdgRUMsnW3uaOrp1HToeIPopgvI7-rVLLbvYvo3877QD7wqjPm0S6m/s200/criminel.jpg" width="131" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i><span style="color: #333333; font-family: "times";">La
vie paraît sourire à Will Trent, du Bureau d’Investigations de Georgia. Il
vient de tomber amoureux et commence à enterrer son passé trouble lorsqu’une
jeune étudiante disparaît et que son chef, Amanda Wagner, la
directrice-adjointe du GBI, sans aucune explication, le tient à l’écart de
l’enquête.</span></i></span><br />
<span style="font-size: large;"><i><span style="color: #333333; font-family: "times";">
Will s’interroge, les cas de disparitions se multiplient. Que faisait Amanda
dans l’orphelinat désaffecté d’Atlanta où il a grandi ? Se recueillerait-elle,
elle aussi, sur un lieu de mémoire ?</span></i></span><span style="font-size: large;"><i><span style="color: #333333; font-family: "times";"><span style="color: black;"><span style="font-family: serif;"> </span></span>Il semblerait que l’affaire qui a lancé la carrière d’Amanda, quarante ans plus
tôt, ait soudain refait surface. Et les deux policiers vont devoir affronter
les démons d’une enfance qui les hantent…</span></i></span><br />
<span style="font-size: large;">
</span><br />
<span style="font-size: large;"><span style="color: #333333; font-family: "times";">J'étais
restée plutôt mitigée après <i>« <a href="http://leschroniquesdu911.blogspot.fr/2015/01/broken-karin-slaughter.html" target="_blank">Broken </a>»</i> et <i>« <a href="http://leschroniquesdu911.blogspot.fr/2016/04/seduction-karin-slaughter.html" target="_blank">Séduction</a> »</i>,
les deux derniers romans de Karin Slaughter que j'avais lus. Dans celui-ci on
retrouve tous les personnages récurrents : Sara Linton, Will Trent, Amanda
Wagner, Evelyn et Faith Mitchell… On va les suivre dans une enquête qui a lieu
de nos jours en parallèle avec la première enquête menée en 1974 par Amanda et
Evelyn, alors jeunes recrues dans la police. Mais quand Amanda va mettre Will à
l'écart de l'investigation sans aucune explication, il va mettre encore plus
d'acharnement à découvrir le pourquoi du comment, et il va se retrouver face à
ce passé qui le hante et qu'il était bien décidé à oublier. L'intrigue est
passionnante, elle va nous faire découvrir enfin les liens qui unissent les
protagonistes entre eux et le parallèle entre les deux époques donne une autre « épaisseur »
à l'enquête. Avec cette plongée dans les années 70 on découvre combien il était
difficile pour une femme de se faire une place dans la police, univers macho
s'il en faut et voir toutes les humiliations qu'elles devaient subir, seules
les plus « acharnées » pouvaient résister, Mais hormis le monde
du travail, c'est au quotidien qu'elles devaient se battre pour avoir le droit
d'exister en tant que femme dans une société qui leur refusait ne serait-ce que
d'ouvrir un compte en banque sans l'accord d'un père ou d'un mari…</span></span><br />
<span style="font-size: large;">
</span><span style="font-size: large;"><span style="color: #333333; font-family: "times";"><i>« Criminel »</i>
me réconcilie totalement avec Karin Slaughter, intrigue, personnages,
tout est au rendez-vous pour passer un excellent moment de lecture.</span></span></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="font-size: large;"><span style="font-size: x-small;"><span style="color: #333333; font-family: "times";"><span style="font-size: small;"><a href="http://espipelettesenparlent.com/2015/12/les-dames-en-noir-2e/">espipelettesenparlent.com/2015/12/les-dames-en-noir-2e/</a></span> </span></span></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirQmlwoAgTklEqHLOY6xdb4V2AWRiiDZW41g-nP2M8dEIpRg2P4QHlyBQ9279evCpJ_qhqreWNWFb7uUXZqT330FmOC-PoBvLNCbN4otQ1vrNkHytk7UI5Gu685snW9Cvzk0fRyIYelQfr/s1600/dames-en-noir-challenge2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirQmlwoAgTklEqHLOY6xdb4V2AWRiiDZW41g-nP2M8dEIpRg2P4QHlyBQ9279evCpJ_qhqreWNWFb7uUXZqT330FmOC-PoBvLNCbN4otQ1vrNkHytk7UI5Gu685snW9Cvzk0fRyIYelQfr/s1600/dames-en-noir-challenge2.jpg" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<br />
<span style="font-size: large;">
</span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgw0PCfbvs2AuhwoJJMwls8q8Vh24DPol7OGrEHgW-xFI04QsZfu2VKOyMp_nqHxZS9q0hnJQrh3AW53H5Bq_umWaLZjvD-l5bh5ym43Kr6YeIqeCEjKCjo3uDmNjTkL91DV9OrLrAg5XaI/s1600/PhiloGounelle.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgw0PCfbvs2AuhwoJJMwls8q8Vh24DPol7OGrEHgW-xFI04QsZfu2VKOyMp_nqHxZS9q0hnJQrh3AW53H5Bq_umWaLZjvD-l5bh5ym43Kr6YeIqeCEjKCjo3uDmNjTkL91DV9OrLrAg5XaI/s1600/PhiloGounelle.jpg" /></a></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<i><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">Entre Elianta, la chamane d'un peuple vivant dans la forêt
tropicale, et Sandro, un mystérieux étranger qui se dit philosophe, la lutte
s'engage. L'une va tout faire pour protéger le bonheur des siens. L'autre s'est
juré de détruire leur bel équilibre.</span></span></i></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">
</span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
</div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">
</span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 8pt; text-align: justify;">
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;"><span style="color: #262626;">Après
le décès de
Tiffany, Sandro, professeur de philosophie, décide de partir au fin fond
de la
forêt tropicale pour se venger de la tribu d'indiens qu'il juge
responsable de la mort de sa compagne. Il fait appel à d'anciens
mercenaires reconvertis en guides pour
atteindre le village. Sa première idée était d'anéantir totalement le
village
et ses habitants, mais sa vengeance va devenir beaucoup plus
« subtile » : pervertir ce peuple heureux qui vit en parfaite
harmonie avec la nature. Peu à peu, les indiens vont découvrir
l'individualisme,
la violence, la jalousie, et parallèlement les mercenaires vont faire
l'expérience de l'exaltation qu'apporte le pouvoir de l'homme sur
l'homme. Petit à petit, ce village va devenir le reflet de nos sociétés
de consommation, avec
ses dérives, ses contradictions et cette course au pouvoir.</span></span></span><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;"><span style="color: #262626;"> </span></span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 8pt; text-align: justify;">
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;"><span style="color: #262626;">Laurent
Gounelle nous fait
une démonstration diablement efficace, son style est fluide et la
lecture
aisée. Mais le tout est peut-être un peu trop limpide, point de suspens,
on
sait où il veut nous emmener et il y arrive sans aucun souci. Autre
bémol : la fin, trop "gentille", que je ne trouve pas en adéquation avec
le reste, ce n'est pas cette "solution" que j'aurais choisie…</span>
</span></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-80371411584510588902016-04-27T13:50:00.002+02:002016-04-27T13:51:08.080+02:00Le retour du professeur de danse, Henning Mankell<div style="text-align: justify;">
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: 10pt; text-align: justify;">
<span style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;"><i><span style="color: #4c4c4c;">Décembre 1945. Dans l'Allemagne
vaincue, un passager solitaire descend d'un avion militaire britannique et se
rend à la prison de Hameln. Là, il procède à la pendaison de criminels de
guerre nazis. Mais l'un d'eux a échappé à son sort.</span></i></span></span><span style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"></span><span style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;"><i><span style="color: #4c4c4c;"> Octobre 1999,dans le nord de la
Suède, Herbert Molin, un policier à la retraite, est torturé à mort. Dans sa
maison isolée, les empreintes sur le parquet semblent indiquer que le tueur a
esquissé un tango sanglant avec sa victime. Ici, ce n'est plus le commissaire
Wallander qui mène l'enquête. Au même moment, à l'autre bout de la Suède, le
jeune policier Stefan Lindman apprend deux mauvaises nouvelles : il a un
cancer et son ancien collègue a été assassiné. Pour tromper son angoisse, il
décide de partir dans le Härjedalen et d'enquêter lui-même sur ce meurtre. Or,
les ombres d'un passé très noir se sont réveillées. Elles ont frappé. Elles
vont frapper encore et encore. Stefan a peur. Mais il est jeune, malade. Il
ignore combien de temps il lui reste à vivre. Il n'a rien à perdre.</span></i></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;">
</span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;">
</span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;"><span style="color: #4c4c4c;">Mon premier Mankell et un
gros coup de cœur pour ce polar qui nous plonge dans un univers très sombre.
Stefan Lindman, jeune flic de 37 ans apprend qu'il est atteint d'un cancer de
la langue et une mauvaise nouvelle n'arrivant jamais seule, c'est le meurtre de</span></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;">
</span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;"><span style="color: #4c4c4c;">son ancien collègue et mentor,
qu'il découvre en ouvrant le journal. Condamné à prendre du repos avant le
début de son traitement, il décide de savoir ce qui est arrivé et part mener
l'enquête de façon officieuse. Et cette enquête va lui faire découvrir que
Herbert Molin a un passé qui se confond avec l'histoire du nazisme, et que
cette « ambiguité » de la Suède (et d'autres pays scandinaves) envers le
IIIe Reich a encore des répercussions aujourd'hui et que se voiler la face
n'est pas la bonne solution. Alors s'agit-il d'une vengeance ou d'un simple
meurtre ? Mankell va nous conduire à la réponse de façon méthodique,
imparable, dans une atmosphère trouble. Le tout est servi par des personnages
dont on retiendra la profonde humanité, ils trainent leurs angoisses et leurs
doutes, leurs questionnements rendent l'atmosphère plus pesante encore.
Implacable, c'est ainsi que je résumerais ce polar. Une belle découverte que
cet auteur qui nous a malheureusement quittés mais il laisse derrière lui une
bibliographie bien fournie qui me promet de beaux moments de lecture à venir.</span></span></span></div>
<span style="font-family: Times,"Times New Roman",serif;"><span style="font-size: large;">
</span></span>Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-22348308311240212752016-04-04T13:52:00.000+02:002016-04-04T14:01:39.231+02:00Les croassements de la nuit, Preston & Child<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgn8OEHcl22PewNMUCiTAzhE2y2nluZtY1lv93AAEW41PxS0XjGBSCTT-KTAnlocNTRrXquhlWqJ6vvvlFdVd7jMERfRVNMGWXn-tBRj1GTgWb6CnfID8qDn3xolQsdtEJT81eqYx3awov7/s1600/croassements.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgn8OEHcl22PewNMUCiTAzhE2y2nluZtY1lv93AAEW41PxS0XjGBSCTT-KTAnlocNTRrXquhlWqJ6vvvlFdVd7jMERfRVNMGWXn-tBRj1GTgWb6CnfID8qDn3xolQsdtEJT81eqYx3awov7/s320/croassements.jpg" width="197" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;"><i>Medicine Creek, un coin paisible du Kansas. Aussi, quand le shérif Hazen découvre le cadavre dépecé d’une inconnue au milieu d’un champ de maïs, il se demande s’il ne rêve pas : le corps est entouré de flèches indiennes sur lesquelles ont été empalés des corbeaux. Œuvre d’un fou ? Rituel satanique ? Il faut le flair de Pendergast, l’agent du FBI, pour comprendre que cette sinistre mise en scène annonce une suite.<br />Qui sème parmi les habitants une épouvante d’autant plus vive qu’il ne fait pas l’ombre d’un doute, pour Pendergast, que le tueur est l’un d’eux...</i><br /><br />Encore un petit bijou du fameux duo Preston & Child. C’est toujours un plaisir de retrouver Aloysius Pendergast, agent du FBI, un peu dandy et totalement déroutant. L’intrigue est elle aussi déroutante, on se retrouve dans un village de l’Amérique profonde, au milieu de nulle part, où des crimes sauvages sont commis. Leur mise en scène attirent bien évidemment Pendergast qui, contrairement à ses habitudes, s’allouent une assistante en la personne d’une jeune autochtone, gamine paumée qui n’entre pas dans le cadre et qui va apporter un peu de fantaisie dans sa vie. Les crimes vont se succéder, plus sauvages les uns que les autres, déconcertant les enquêteurs du cru. Le passé va ressurgir en laissant planer sur tous ces crimes légende et malédiction, apportant un zest de surnaturel à l’enquête. Le tout est mené tambour battant jusqu’au dénouement et encore une fois, Preston & Child nous entraînent dans une histoire qui nous tient en haleine de bout en bout.</span></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-52129300699154761302016-04-01T13:45:00.002+02:002016-04-04T14:01:32.321+02:00Séduction, Karin Slaughter<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbA8wusKmQ7m6c3TeLk-ouJ3z754lWfLy_a0VgorXPwys8i0_g5ZzOHzEQ9MlhhZqyR73giK2JV2O_j7hwlMQvDIsF9CaWkH-w6pM9ARBjeu8NmGJH2FNLPvFiAOeesvG_viSVmwj8x_k6/s1600/SeductionWeb.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbA8wusKmQ7m6c3TeLk-ouJ3z754lWfLy_a0VgorXPwys8i0_g5ZzOHzEQ9MlhhZqyR73giK2JV2O_j7hwlMQvDIsF9CaWkH-w6pM9ARBjeu8NmGJH2FNLPvFiAOeesvG_viSVmwj8x_k6/s1600/SeductionWeb.jpg" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<i><span style="font-size: large;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">Evelyn, la mère de Faith Mitchell, a passé quarante ans dans la police avant de prendre sa retraite. Elle répond toujours au téléphone. Sauf aujourd’hui. Sur place, Faith découvre l’empreinte d’une main ensanglantée sur la porte de la maison. Elle semble oublier ce qu’elle a appris à l’école de police et entre en brandissant son pistolet : un homme gît au sol et un autre est tenu en otage dans la chambre. Pas de trace de sa mère. ”Vous savez pourquoi nous sommes ici. Vous nous le filez et nous la laissons partir”. De quoi parlait-il ? Faith n’en avait aucune idée. Sa mère était une veuve de soixante-trois ans. Ce qui avait le plus de valeur dans sa maison, c’était le terrain sur lequel elle était bâtie. Pour retrouver sa mère, elle aura besoin de l’aide de Will Trent, son coéquipier, et du médecin urgentiste Sara Linton. Mais à présent, elle n’est plus une simple policière, elle est témoin et, plus tard, sera suspecte. Son enquête l’amènera à franchir la frontière derrière laquelle s’abritent la corruption policière, le chantage et même des meurtres. Et si Faith devait renoncer, il faudra qu’elle accepte que la vérité soit dissimulée à jamais.</span></span></i><br />
<span style="font-size: large;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;"></span></span><br />
<span style="font-size: large;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">Je ressors très mitigée de cette lecture au même titre que ce que j’avais ressenti à la fin de <i><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span>Broken<span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span></i> le précédent opus de Karine Slaughter que j’avais lu. Pourtant l’intrigue en elle-même est passionnante et nous entraine dans une enquête un peu particulière puisqu’il s’agit de la disparition de la mère de Faith. C’est un véritable plaisir de retrouver les personnages de Faith, Will et Amanda, cette équipe de choc liée non seulement par leur travail mais aussi par des sentiments plus profonds de respect et d’amitié. Par contre, le personnage de Sara est aussi ennuyeux que dans <i><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span>Broken<span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span></i>, elle semble catapultée dans l’intrigue par l’auteure mais son personnage n’apporte rien à l’histoire et sa relation avec Will n’a aucune crédibilité. Heureusement l’intrigue ne laisse aucun temps mort, Karin Slaughter nous entraîne sur différentes pistes, le rythme est comme toujours soutenu. Elle fait évoluer les personnages au fil de l’enquête, faisant ressortir les points forts et les points faibles de chacun, leur complexité. Un bon thriller donc dans son ensemble, mais par un <span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span>excellent thriller<span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span> comme Karin Slaughter peut en écrire. A voir ce que donnera le suivant <i><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span>Criminel<span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span></i> qui regroupe ces personnages et aussi <i><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span>Pretty Girl<span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;">"</span></i> un thriller qui n’a rien à voir avec cette série.</span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="text-align: center;">
<span style="font-size: small;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;"><a href="http://lespipelettesenparlent.com/2015/12/les-dames-en-noir-2e/">http://lespipelettesenparlent.com/2015/12/les-dames-en-noir-2e/</a> </span></span></div>
<div style="text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh98w5uG9t8fQecDxp8aFK6ft19JOpxit2QeqWQmdjtWCacgJIvvoMV_Cm4yVTwd459h0aCd4FEIjgHiGHMPxSO9W6YZvU00FvVJmc_YM9Z1SAMM4pVk3LlnMQDfVKgDZplyNgmBnCFP03X/s1600/dames-en-noir-challenge2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh98w5uG9t8fQecDxp8aFK6ft19JOpxit2QeqWQmdjtWCacgJIvvoMV_Cm4yVTwd459h0aCd4FEIjgHiGHMPxSO9W6YZvU00FvVJmc_YM9Z1SAMM4pVk3LlnMQDfVKgDZplyNgmBnCFP03X/s1600/dames-en-noir-challenge2.jpg" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKf5VuDiREJzse3DlEkiXTz2TReDeSd3Q2HDZGJdVAAT8Wrlu__iGK8rs7lJhpaCZHa6GOiS5mwjV4tBsn7bzIPGJVg7kw_79Rl-EkCANfvfgBZWKnMXZPjO9jbotJg40zGwhYmZdAosj8/s1600/Noureev.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKf5VuDiREJzse3DlEkiXTz2TReDeSd3Q2HDZGJdVAAT8Wrlu__iGK8rs7lJhpaCZHa6GOiS5mwjV4tBsn7bzIPGJVg7kw_79Rl-EkCANfvfgBZWKnMXZPjO9jbotJg40zGwhYmZdAosj8/s320/Noureev.jpg" width="195" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: medium;"><i>Rudolf Noureev, le plus célèbre danseur de tous les temps, se livre entièrement dans ce témoignage inédit en France. Ce texte paraît en 1962, date à laquelle le fougueux danseur devient une star internationale. Étoile du ballet soviétique du Kirov, il choisit le 16 juin 1961, lors de sa première tournée en France, de passer à l’Ouest avec fracas, en faussant compagnie aux gardes du KGB à l’aéroport du Bourget. Star du jour au lendemain pour cet acte considéré à tort comme politique, Noureev, génie de la danse, allait conquérir les plus grandes scènes et révolutionner l’art du ballet.Dans ce texte, Noureev n’a pas seulement de flamboyants débuts à raconter, mais un destin à faire découvrir. Le destin d’un petit garçon soviétique né dans une grande pauvreté, et en passe de devenir une superstar occidentale façonnée par la toute-puissance médiatique des années 1960 et le contexte oppressant de la guerre froide.Toute la personnalité de Noureev y figure déjà, dans cette enfance nomade, dans ce caractère entier et volontaire, source de mélancolie mais atout essentiel pour oser transgresser l’autorité familiale, politique et artistique de son temps.</i></span></div>
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<br /></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: medium;">Cette autobiographie, qui vient juste d’être publiée en France, était avant tout un acte de survie pour Rudolf Noureev, elle lui a permis de rester en pleine lumière et cette médiatisation lui a sûrement sauvé la vie. En effet, elle paraît en 1962, quelques mois après qu’il ait décidé de fuir la Russie et de demander l’asile politique à la France. Il devint un traite à la toute puissante Russie et le KGB souhaitait l’éliminer. Pourtant, ce geste n’est pour lui en aucun cas politique, c’est la seule façon de pouvoir danser en "toute liberté". Si cet ouvrage nous fait découvrir (ou redécouvrir) sa vie, avec sa naissance dans une famille pauvre, un père qui ne veut pas qu’il devienne danseur mais surtout, qui n’a pas les moyens de lui payer le billet de train pour Leningrad où il aurait pu auditionner pour entrer à l’école de danse, il nous permet avant tout de retrouver un être d’exception pour qui la danse était toute la vie. Son incroyable soif de perfection faisait de lui un bourreau de travail, jamais satisfait, pensant pouvoir toujours faire mieux, et qui voulait moderniser la danse, permettre au danseur de donner toute son émotion au mouvement, et non pas être une marionnette reproduisant ce qui s’était déjà fait. Mais cette recherche de la perfection en a fait également un être fragile, tourmenté et colérique, exigeant avec les autres mais encore plus avec lui-même. Ce danseur hors du commun fut élevé au rang de rock star, et aujourd’hui encore, plus de vingt ans après sa mort, il est toujours considéré comme un génie de la danse classique. J’ai lu cette autobiographique d’une seule traite, et si je connaissais les grandes lignes de la vie de Noureev, là je suis entrée dans sa vie intime, de ses souvenirs d’enfance parfois incertains jusqu’à sa consécration.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<b><i>Merci à Babelio et aux Editions Arthaud de m'avoir permis de redécouvrir cet immense artiste.</i></b></div>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="font-size: x-small;"><a href="http://www.babelio.com/massecritique.php"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipwfuQfQun389WDp74XasV6aNFHeS-bL5XDXuUy_jdeOToGHY4eM8S2go5uAgLNDuj_5j1nf4narJJ5EpXpTsZ8oiiaM1QHUiRwxS0ND7sxm2W7v8BnT8m8_N9rJ_-8e0dj6R1UElytQBh/s1600/masseCritique.jpg" /></a></span></div>
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<b><i><br /></i></b></div>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-81675575959772437322016-01-10T19:16:00.001+01:002016-04-04T13:59:26.739+02:00L'heure trouble, Johan Theorin<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiIFmLK0ee8xXBSSB-z17nLQBYd74inY8EkmTjxTdCYqbqPPYtrgz6GUaKdQ-k5tV7U1XMcE3QMgJ4Wef_v1xSJeGBVyAVsYTj4aIHdRuk_kVNQuFfA49B8nmntoBWGoNYD1bvaxkKshBK2/s1600/HeureTrouble.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiIFmLK0ee8xXBSSB-z17nLQBYd74inY8EkmTjxTdCYqbqPPYtrgz6GUaKdQ-k5tV7U1XMcE3QMgJ4Wef_v1xSJeGBVyAVsYTj4aIHdRuk_kVNQuFfA49B8nmntoBWGoNYD1bvaxkKshBK2/s320/HeureTrouble.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>À l’heure trouble, entre chien et loup, un enfant disparaît sans laisser de trace dans les brouillards d’une petite île de la Baltique. Vingt ans plus tard, une de ses chaussures est mystérieusement adressée à son grand-père. Qui a intérêt à relancer l’affaire ? Et pourquoi toutes les pistes conduisent-elles à un criminel mort depuis longtemps ? Dans une oppressante atmosphère de huis clos, une histoire de deuil, d’oubli et de pardon, hantée par les ombres du passé. Numéro un des ventes en Suède, déjà traduit dans une dizaine de pays, ce suspense complexe et envoûtant a été élu Meilleur roman policier suédois 2007 par la Swedish Academy of Crime.</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span>
<span style="font-size: large;">Après «Froid Mortel», c’est avec plaisir que j’ai retrouvé Johan Theorin, avec ce roman qui est son premier. Avec cette "Heure trouble", il nous entraîne dans une intrigue à l’atmosphère non seulement angoissante mais aussi envoûtante. Les personnages sont justes : Gerlof, le père âgé de 80 ans et Julia sa fille, quadragénaire dépressive. Entre les deux, le lien est rompu depuis ce jour où Jens, le petit garçon de Julia a disparu alors qu’il était sous la garde de son grand-père. Et quand Gerlof reçoit vingt ans plus tard une des chaussures de l’enfant, la douleur de Julia qui ne s’est jamais éteinte va reprendre le dessus et elle voit là une chance de comprendre enfin ce qui est arrivé à son fils. Julia va faire équipe avec son père rongé par la culpabilité, et ils vont essayer tant bien que mal de trouver la réponse à leur question. La tension psychologique est maintenue de la première à la dernière page, les flashback rythme l’ensemble et on a l’impression d’être happé par cette brume omniprésente. Johan Theorin nous fait partager la douleur, la culpabilité et la tristesse des personnages, et au-delà de l’intrigue policière, il nous donne à réfléchir sur la famille, la solitude. Son écriture précise donne à l’émotion toute sa dimension et nous conduit jusqu’au dénouement final qui nous laisse un goût amer. Une très belle lecture.</span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-23660516519355165252016-01-10T18:06:00.003+01:002016-04-01T13:46:05.373+02:00Challenge "Les Dames en Noir" deuxième du nom !<span style="font-size: large;">Pour la seconde année consécutive, <a href="http://lespipelettesenparlent.com/">Les pipelettes en parlent </a>nous proposent ce challenge dont le but est de mettre en avant ces "dames en noir" de la littérature et bien sûr, je signe pour cette deuxième année. Pour participer, c'est simple :</span><br />
<span style="font-size: large;">Les inscriptions se font jusqu’au 31 janvier 2016. Elles sont ouvertes à tous et se font soit <a href="http://lespipelettesenparlent.com/2015/12/les-dames-en-noir-2e/">ici </a>soit sur le <a href="http://topic%20du%20challenge/">topic du challenge </a>sur Livraddict.</span><br />
<span style="font-size: large;">N'hésitez pas et bon challenge à toutes et tous !</span><br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijsbijBnMbaowXcAdmNppqBie1tl_U9lB_HRcmEI8gIsRna81JQbfijf_8KC9XDLMfdRINpxRpzb7pnYzeJiYYfUo7-QxwoR12rp4wFO7qFFX1kz4Z9LpFDwQMT4pVqwOCaMyYr8JT39X7/s1600/dames-en-noir-challenge2.jpg" /></div>
<br />Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-20435284245167011732015-11-29T18:57:00.000+01:002016-04-04T13:59:34.655+02:00Pièges et sacrifices, Roger Smith<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEit03IXJBDR9HGmcL2zQ9qmeInT5NcqW4uivhRzl4KGbDIIVlz17xuDlt2IdSUzYv5z9RnBp8wlo-1y40giovjV1RSdFrzwVrxyvbd5B8SQ9zAm6UFYVlzPePVO-ogx-P1Wo0HRiIkkxe6-/s1600/Pieges.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEit03IXJBDR9HGmcL2zQ9qmeInT5NcqW4uivhRzl4KGbDIIVlz17xuDlt2IdSUzYv5z9RnBp8wlo-1y40giovjV1RSdFrzwVrxyvbd5B8SQ9zAm6UFYVlzPePVO-ogx-P1Wo0HRiIkkxe6-/s320/Pieges.jpg" width="217" /></a></div>
<div style="font: normal normal normal 10px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;"><i>Gonflé aux stéroïdes, le fils de Mike Lane, un riche Blanc du Cap, vient d’assassiner la fille qu’il a ramenée chez lui. Pas question pour sa mère que la police l’arrête et l’expédie à Pollsmoor, une prison dont il n’aurait que très peu de chances de ressortir vivant. Sans vergogne, elle accuse le fils de sa femme de ménage. Faible, Mike ne dit rien. Quant à la police, elle est trop heureuse de résoudre le meurtre et marche dans la combine.</i></span></div>
<div style="font: normal normal normal 10px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;"><i>Mais la femme de ménage a aussi une fille… et cette fille, elle, ne lâchera pas tant qu’elle n’aura pas rétabli la vérité. Dans une Afrique du Sud où les rapports Noirs-Blancs sont toujours tendus et où la police n’aime pas trop qu’on mette le nez dans ses affaires, l’histoire risque fort de mal finir…</i></span></div>
<div style="font: normal normal normal 10px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;"><i>Roman noir empli de pièges et de personnages perdus, Pièges et Sacrifices est une toile d’araignée machiavélique.</i></span></div>
<div style="font: normal normal normal 10px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; min-height: 12px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;"><br /></span></div>
<div style="font: normal normal normal 10px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;">Machiavélique, c’est vraiment le mot qui, pour moi, résume ce livre. En fait, tout est une question de choix, c’est ce que va nous démontrer Roger Smith dans ce roman. L’action se déroule en Afrique du Sud, au Cap, dans une banlieue huppée, où caméras de surveillance et gardes privés sont légions. L’histoire met en scène d’un côté Michael Lane, un libraire, sa femme Beverley, femme d’affaires et leur fils Christopher, gloire montante du rugby. De l’autre côté, il y a Denise, la femme de ménage des Lane, Louise sa fille et Lyndall son fils. Un soir, Chris, va tuer la jeune femme qu’il a ramenée chez lui, et là le cauchemar commence pour tous les protagonistes. Beverley qui a l’ascendant sur son mari, réussit à le convaincre de faire accuser Lyndall, petite frappe sans envergure, une version qui arrange bien la police. Mais c’est sans compter l’acharnement que va mettre Louise à découvrir la vérité. Le personnage de Louise est un personnage très fort, sa relation avec Mike est quasi filiale, elle lui voue admiration et respect, c’est grâce à lui qu’elle a pu faire des études et s’élever socialement. Mais elle est opiniâtre, elle est prête à tout pour faire éclater la vérité et elle nous fera plonger dans cette Afrique du Sud où malgré la fin de l’apartheid, les blessures ne sont pas refermées et où les discriminations ont pris d’autres formes. Et peu à peu, elle révèlera mensonges et secrets, et le cauchemar infernal ne s’arrêtera pas.</span></div>
<div style="font: normal normal normal 10px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;">Cette histoire est machiavélique, elle nous met face à des personnages qui sous leur vernis, sont prêts à tout pour conserver ce qu'ils ont pu acquérir, que les choix qu'ils ont faits à un moment ou un autre, bons ou mauvais, les mènent là où ils sont aujourd'hui, que rien n'est dû au hasard. </span><span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;">C’est un roman très sombre, âpre et violent, qui laisse peu de place à l'espoir, on se demande où est passé ce peuple "Arc en ciel" dont on a tant entendu parlé. </span><span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;">On sort de cette histoire réellement sonné tant</span><span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;"> les personnages sont justes et le style de Roger Smith parfait pour cette histoire impitoyable. Un excellent polar comme je n'en avais pas lu depuis longtemps. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-22618755485695940822015-11-29T17:33:00.001+01:002016-04-04T13:59:43.958+02:00Tromper la mort, Maryse Rivière<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_S3j0NrIHE7Ehyt9JsGaUORcaQoN9SgAdKrk7ZzZfpiVHrrTSRu8cx0eGCpjuku0_jTL50hYTs_gKPAAUcAxYNy5L6PSfthpqI3zYU8Gwn5cgvXWUFZeNe_Yujif1fJi7_Gm1bxYO3Ucb/s1600/tromper.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_S3j0NrIHE7Ehyt9JsGaUORcaQoN9SgAdKrk7ZzZfpiVHrrTSRu8cx0eGCpjuku0_jTL50hYTs_gKPAAUcAxYNy5L6PSfthpqI3zYU8Gwn5cgvXWUFZeNe_Yujif1fJi7_Gm1bxYO3Ucb/s320/tromper.jpg" width="195" /></a></div>
<div style="font: normal normal normal 12px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;"><i>Pas assez d’eau pour noyer un homme, pas assez de bois pour le pendre, pas assez de terre pour l’enterrer... Rattrapé par l’âpreté de l’Irlande, le libraire de Montmartre pourra-t-il échapper à son destin ? Traqué par les polices française et irlandaise, son spectre se fond dans les tourbières, se confond aux brumes, se morfond dans les pubs... Ombres et lumières des légendes celtiques, mystères de l’âme irlandaise, au coeur de l’action policière...</i></span></div>
<div style="font: normal normal normal 12px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; min-height: 14px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;"><br /></span></div>
<div style="font: normal normal normal 12px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; min-height: 14px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;"><br /></span></div>
<div style="font: normal normal normal 12px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;">J’avais hâte de découvrir ce « Prix du quai des orfèvres 2015 », qui pour mon plus grand plaisir se déroulait en grande partie en Irlande. Pour résumer sans trop dévoiler de l’intrigue, on suit la cavale d’un serial killer en Irlande, avec à ses trousses un flic parisien. On y croise des anciens terroristes de l’IRA devenus malfrats après la signature de « la paix ». Tous les ingrédients sont là pour faire de cette histoire un roman captivant, mais malheureusement, je trouve que rien ne décolle vraiment. La psychologie des personnages est un peu juste, l’intrigue pas très convaincante, et quand arrive la fin, on reste avec un sentiment de pas tout à fait abouti. Par contre l’Irlande est là, envoûtante, Maryse Rivière en fait un personnage à part entière et on prend plaisir à cette balade irlandaise. Pas un grand polar mais le style simple et sans fioritures de Maryse Rivière en fait un roman que l’on lit sans déplaisir.</span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVM-1vyvC1PZRfY6Z20CHcDgbyrEX8znMpLQ_xMJmJC2SD_-d4yTTU8Cm7cEarLT046Y0IkRmSA_vPUFhaIIt_68HBD8d6dXlpFQeFGGozNip8Fg1B47c-5KYXoWIapJ3PcVc594tWRA24/s1600/DameEnNoir.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVM-1vyvC1PZRfY6Z20CHcDgbyrEX8znMpLQ_xMJmJC2SD_-d4yTTU8Cm7cEarLT046Y0IkRmSA_vPUFhaIIt_68HBD8d6dXlpFQeFGGozNip8Fg1B47c-5KYXoWIapJ3PcVc594tWRA24/s200/DameEnNoir.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://lespipelettesenparlent.com/2014/11/challenge-les-dames-en-noir/"><span class="Apple-style-span" style="font-size: x-small;">http://lespipelettesenparlent.com/2014/11/challenge-les-dames-en-noir/</span></a></div>
<div style="font: normal normal normal 12px/normal 'Minion Pro'; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: "times" , "times new roman" , serif; font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-73899125203442381902015-11-16T09:13:00.004+01:002015-11-29T17:34:00.815+01:00<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVyGaVuEzXQBlXMhrxlXiwsWXnPOul6sjpLhv_wCK4-bKS77FevyYILEk-v5RoJW0gkWw3ZEqedmhDSKPdWUc0p3xZU5qBhyphenhyphendOot6p1yCwUlRSR8r9DSgkI_9L_cTfdTvMiYlrHb0Fr0tb/s1600/PeanceAndLoveParis.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVyGaVuEzXQBlXMhrxlXiwsWXnPOul6sjpLhv_wCK4-bKS77FevyYILEk-v5RoJW0gkWw3ZEqedmhDSKPdWUc0p3xZU5qBhyphenhyphendOot6p1yCwUlRSR8r9DSgkI_9L_cTfdTvMiYlrHb0Fr0tb/s320/PeanceAndLoveParis.jpg" width="276" /></a></div>
<br />Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-31902728379711843852015-11-01T18:28:00.001+01:002015-11-01T18:28:14.556+01:00Affaire classée, Danielle Thiery<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz6eXHPhUW95BRaG_laDx99L4UtArhhYd2DJ6fCnvLiwAH7XPfzcYMjOTTQOTpNxPjCjppLfI7kwnPIszADN4pf5-uUS9d41gQkVUSP8XlCEIxQMbVgI5xbecC0bNTCqMnfizVFI5rYVNS/s1600/Affaire.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz6eXHPhUW95BRaG_laDx99L4UtArhhYd2DJ6fCnvLiwAH7XPfzcYMjOTTQOTpNxPjCjppLfI7kwnPIszADN4pf5-uUS9d41gQkVUSP8XlCEIxQMbVgI5xbecC0bNTCqMnfizVFI5rYVNS/s1600/Affaire.jpg" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Une paire de souliers taille 26 - des souliers rouges de petite fille....</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>A l’heure où elle veut changer de vie, le commissaire Edwige Marion les trouve posés sur sa boîte aux lettres, comme un vieux souvenir : c’était sa première enquête et, par manque d’indices, elle avait dû conclure à l’accident...</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Qui lui envoie aujourd’hui ce message et pourquoi ?</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>En attendant de le découvrir, Marion va une nouvelle fois faire l’expérience que l’oubli n’existe pas : les blessures mal refermées du passé viennent hanter les vivants.</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Avec son courage et ses doutes, elle n’aura d’autre choix que d’aller jusqu’au bout.</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Au risque de sa vie.</i></span></div>
<div class="p2" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<br />
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">J’ai été attirée par ce roman écrit par Danielle Thiery, ancienne commissaire divisionnaire et première femme de l’histoire de la police Française à accéder à ce grade, je trouvais qu’elle était « bien placée » pour écrire sur ce « cold case ». Par contre, je n’avais rien lu de l’auteure et je ne savais pas que le personnage principal, Edwige Marion, avait fait l’objet d’un autre opus, mais ça n’a pas dérangé trop ma lecture, si ce n’est lors des références à son passé personnel. L’intrigue est bien ficelée mais je regrette son rythme plutôt lent, car elle est entrecoupée de passages consacrés à la vie personnelle d’Edwige Marion. A mon sens, ces passages n’apportent rien de plus à l’enquête et fait apparaître le personnage, parfois, un peu trop caricatural. Autour d’Edwige Marion gravitent de nombreux personnages secondaires tant dans sa vie professionnelle que dans sa vie personnelle, et on a un peu de mal à s’y retrouver. Je reste donc mitigée sur ce roman, l’intrigue est intéressante mais le manque de fluidité est pour moi un obstacle pour être passionnée du début à la fin, et il manque là-aussi un petit quelque chose qui aurait pu en faire un bon polar captivant.</span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9arJ94yLV1vTo6EiY9bTPuxW6w4AAwlYVAuybyMkq0RLmQIb2YG_Nhd7pr6eHL6iD5fJPhevGP0wQv03DnBlPoNQH3VKhl3BaS2vpA0V8pbBMsYTFeaGR1KhJQTpWn22wdbdQBAjdFBdi/s1600/DameEnNoir.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9arJ94yLV1vTo6EiY9bTPuxW6w4AAwlYVAuybyMkq0RLmQIb2YG_Nhd7pr6eHL6iD5fJPhevGP0wQv03DnBlPoNQH3VKhl3BaS2vpA0V8pbBMsYTFeaGR1KhJQTpWn22wdbdQBAjdFBdi/s200/DameEnNoir.jpg" width="200" /></a></div>
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<a href="http://lespipelettesenparlent.com/2014/11/challenge-les-dames-en-noir/" style="color: #ffcc7f; font-family: Georgia, Utopia, 'Palatino Linotype', Palatino, serif; font-size: 13px; line-height: 18.2000007629395px; text-decoration: none;">http://lespipelettesenparlent.com/2014/11/challenge-les-dames-en-noir/</a></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-2129428007847692332015-11-01T16:58:00.001+01:002016-04-04T14:00:01.654+02:00Substitutions, Tania Carver<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEii0oKagNxCA_b2bCPJdQZJtoPEseeK9gMPy0u3dT0NyKTFMU_m2SPwOrQV2CrXlL5alZ7eSo7Jp1GQ6JDvukk6Lzn5lfd0l9gyAntRgSsQJIZjM5ywn3UAMvcIdkc6AwKqStOmSeRLenxK/s1600/Carver.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEii0oKagNxCA_b2bCPJdQZJtoPEseeK9gMPy0u3dT0NyKTFMU_m2SPwOrQV2CrXlL5alZ7eSo7Jp1GQ6JDvukk6Lzn5lfd0l9gyAntRgSsQJIZjM5ywn3UAMvcIdkc6AwKqStOmSeRLenxK/s320/Carver.jpg" width="197" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Colchester, dans l’Essex. C’est un double meurtre particulièrement horrible qui attend l’inspecteur détective Philip Brennan lorsqu’il arrive sur la scène de crime : il découvre les corps de deux femmes sauvagement assassinées. L’une gît sur le sol de l’entrée, baignant dans son sang, l’autre est attachée sur son lit, les yeux révulsés, le ventre ouvert. La victime était enceinte, sa grossesse presque à terme. Et tout porte à croire que le tueur a extrait et emporté le fœtus… Personne ne peut imaginer quelle sorte de fou est capable de commettre des actes aussi monstrueux. Quand la psychologue Marina Esposito est affectée à l’enquête, ses conclusions font l’effet d’une bombe : une femme est impliquée dans l’affaire. Une femme désespérée de ne pas avoir d’enfant…</i></span></div>
<br />
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">Après avoir lu toutes les bonnes critiques concernant ce roman, je me suis lancée. C’est vrai, l’intrigue est là, les personnages aussi, mais… il manque un petit quelque chose pour que ce soit vraiment captivant, haletant. Même si on ne s’ennuie pas à sa lecture, je trouve qu’il n’y a rien de nouveau, que parfois les situations et les réactions des personnages sont un peu tirées par les cheveux. La fin elle-même n’est pas étonnante, on se doute avant la conclusion de qui est qui et pourquoi. Dommage !</span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiG-4dSRsw88yJjOuAcPT_zFh-XgeoPdyS8wU31wGiw3KtX32MKscIvftCuQkm5BEhr7TDLoNj5069-zYwXkoye2dzy3gEtYSmAoNLTd4O7BPQaMdhtk9XOFWurYB-1dKYF-LsdsTP1oAVo/s1600/DameEnNoir.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiG-4dSRsw88yJjOuAcPT_zFh-XgeoPdyS8wU31wGiw3KtX32MKscIvftCuQkm5BEhr7TDLoNj5069-zYwXkoye2dzy3gEtYSmAoNLTd4O7BPQaMdhtk9XOFWurYB-1dKYF-LsdsTP1oAVo/s200/DameEnNoir.jpg" width="200" /></a></div>
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<a href="http://lespipelettesenparlent.com/2014/11/challenge-les-dames-en-noir/" style="text-align: start;"><span style="font-size: x-small;">http://lespipelettesenparlent.com/2014/11/challenge-les-dames-en-noir/</span></a></div>
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<br /></div>
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Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-78547507642209298732015-11-01T16:07:00.001+01:002016-04-04T14:00:09.655+02:00Les chiens de Belfast, Sam Millar<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjl5_vN18AR_9aKCRakfec0aEAW46h_KZPaee6L5r4afTIdCBZgn-MgfTFvKSwFQQ_NEE3VO06CdSah9fqgUazzKVzOgrdHZ_xL2Ysdtis1BhRV9dyFQgOgQANn3K4C1Sle7sK1kcWXNCBt/s1600/SamMillar.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjl5_vN18AR_9aKCRakfec0aEAW46h_KZPaee6L5r4afTIdCBZgn-MgfTFvKSwFQQ_NEE3VO06CdSah9fqgUazzKVzOgrdHZ_xL2Ysdtis1BhRV9dyFQgOgQANn3K4C1Sle7sK1kcWXNCBt/s320/SamMillar.jpg" width="192" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>En 1978, à Belfast, une femme est violée puis tuée par des inconnus, son cadavre laissé en pâtures aux chiens errants. Nul n’a payé pour ce crime horrible. Mais vingt ans plus tard, une mystérieuse blonde sème les cadavres un peu partout en ville… Pour Karl Kane, détective privé qui enquête sur l’une des victimes, il vaudrait mieux ne pas barrer la route à ce qui a tout l’air d’une vengeance en règle.</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">Dès les premières pages, on est plongé dans l’horreur avec le viol et l’assassinat d’une jeune femme par 5 hommes. Pendant vingt ans, personne ne sera inquiété pour ce crime, jusqu’au jour où un homme pousse la porte du détective privé Karl Kane pour lui demander d’identifier un cadavre retrouvé dans un jardin botanique. A partir de là, les événements vont s’enchaîner et Karl Kane va se trouver mêler à une affaire qui le fera plonger dans l’horreur, le ramènera dans son propre passé et fera ressurgir des blessures qui ne sont pas effacées. Tout ça pourrait bien paraître du "déjà-vu", mais c'est sans compter le talent de Sam Millar ! Karl Kane n’a rien du héros invincible : il est en conflit avec son corps et son esprit, se pose beaucoup trop de questions, mais il est doté d’un humour qui frise le cynisme et c’est réjouissant. Il est entouré d’une galerie de personnages auxquels on s’attache très rapidement comme Naomi sa secrétaire et d’autres qu’on déteste aussi rapidement. Quant à l’intrigue, elle est finement menée, sans temps morts, mais on est très loin de l’univers des Bisounours : violence et cruauté sont les maîtres-mots de ce roman et certaines descriptions peuvent être difficilement supportables. C’est un roman noir, vraiment noir et haletant qui ne laisse aucun répit au lecteur. C’est aussi le premier tome d’une trilogie avec Karl Kane comme personnage récurrent, à suivre donc ! Et s’il n’a pas la «dimension» politique des «Fantômes de Belfast» de Stuart Neville, il n’en reste pas moins un gros coup de cœur. Et merci à «Passion Polar», le blog d’une petite souris qui m’a fait découvrir cet auteur !</span></div>
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</div>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-23730180464793094972015-10-25T16:57:00.002+01:002015-11-01T17:37:10.852+01:00Les Lumineuses, Lauren Beukes<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6YAsrNW2_cnmt_pw4UHOwfpZim-jlHQDo7E7ELR2PJW4rwx6ZAG76yNLrqC-8IRr7uC6rvRCcxHazBXLW-SczvKieGXfshwyjmWWq1j_136fIctajz9At8HgapWZGDdQbOlcVbiU5WHGk/s1600/Lumineuses.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6YAsrNW2_cnmt_pw4UHOwfpZim-jlHQDo7E7ELR2PJW4rwx6ZAG76yNLrqC-8IRr7uC6rvRCcxHazBXLW-SczvKieGXfshwyjmWWq1j_136fIctajz9At8HgapWZGDdQbOlcVbiU5WHGk/s320/Lumineuses.jpg" width="195" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>1931, Chicago. Traqué par la police, Harper Curtis, un marginal violent, se réfugie dans une maison abandonnée. À l’intérieur, il a une vision. Des visages de femmes, auréolés de lumière, lui apparaissent. Il comprend qu’il doit les trouver… et les tuer. Dans sa transe, Harper découvre que grâce à cette demeure, il peut voyager dans le temps. Débute alors sa croisade meurtrière à travers le XXe siècle : années 1950, 1970, 1990… D’une décennie à l’autre, il sème la mort sur son passage, laissant en guise de signature des indices anachroniques sur le corps de ses victimes. </i></span><br />
<i><span style="font-size: large;">Mais l’une d’elles survit aux terribles blessures qu’il lui a infligées. Et va tout faire pour le retrouver.</span></i></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">Voici un roman envoûtant, qui oscille entre science-fiction et thriller et qui devient très vite addictif. Nous suivons Harper, tueur en série, à travers tout le XXe siècle. Kirby, sa première victime, est une enfant lorsqu’elle croise le chemin de Harper qui la laisse pour morte. Mais, devenue adulte et apprentie journaliste, elle entreprend de comprendre ce qui lui ait arrivé et en menant l’enquête, elle s’aperçoit qu’elle n’est pas la seule victime du tueur et elle va faire des découvertes les plus surprenantes les unes que les autres. En suivant sa quête, nous allons faire un haletant voyage émaillés d’aller et retour dans le temps et découvrir Chicago des années 20 à nos jours. Avec les portraits de toutes ces femmes victimes de Harper, Lauren Beukes dessine avec émotion et humour des personnages atypiques et attachants, témoins de leur condition de vie et de leur époque. Les chapitres courts ne laissent pas de répit au lecteur, et il est difficile de lâcher ce livre. La fin est surprenante et laisse songeur mais sans pour autant décevoir. Une belle découverte et une auteure à suivre sans aucune modération.</span><br />
<span style="font-size: large;"><br /></span>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgo0i7CTZmiF8ybMy7EO5VhZBH-4c6n04k02gZtifthZ9wi2hMRA6IPbJJiT_1PW1Hv4cjD_ZBs4pCUitB6zJdEWcg-htvOgFv-smQ8yMw9ASTPKEwmu6SD4iqWQPH3kvz2VELDB3ND9ht8/s1600/DameEnNoir.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgo0i7CTZmiF8ybMy7EO5VhZBH-4c6n04k02gZtifthZ9wi2hMRA6IPbJJiT_1PW1Hv4cjD_ZBs4pCUitB6zJdEWcg-htvOgFv-smQ8yMw9ASTPKEwmu6SD4iqWQPH3kvz2VELDB3ND9ht8/s200/DameEnNoir.jpg" width="200" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<a href="http://lespipelettesenparlent.com/2014/11/challenge-les-dames-en-noir/">http://lespipelettesenparlent.com/2014/11/challenge-les-dames-en-noir/</a></div>
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Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-84211553011321924262015-09-27T19:13:00.001+02:002015-11-01T17:35:44.852+01:00Les fantômes de Belfast, Stuart Neville<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLOrMJuiY1A9G8IhfpKEvrSy_RlTzuE8ZRggwl7flKQwgjnLCiGijJAkozjyiz_8WmF6_FgvJzW2vFhoYAOd-cIaADAW08cjcd_G0ji1kX36NukBY1UITeLRyp1fQGzZuiwaRH-0V9_7FU/s1600/StuartNeville.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: justify;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLOrMJuiY1A9G8IhfpKEvrSy_RlTzuE8ZRggwl7flKQwgjnLCiGijJAkozjyiz_8WmF6_FgvJzW2vFhoYAOd-cIaADAW08cjcd_G0ji1kX36NukBY1UITeLRyp1fQGzZuiwaRH-0V9_7FU/s200/StuartNeville.jpg" width="128" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Signé le 10 avril 1998, l’Accord de Paix pour l’Irlande du Nord a mis un terme à des années de guerre sanglante. Pourtant les anciennes haines n’ont pas totalement disparu. Depuis qu’il est sorti de prison, Gerry Fegan, ex-tueur de l’IRA, est devenu dépressif et alcoolique. Il est hanté par les fantômes des douze personnes qu’il a assassinées et ne connaît plus le repos. Le seul moyen de se débarrasser de ces ombres qui l’assaillent est d’exécuter un par un les commanditaires des meurtres. Dont certains sont aujourd’hui des politiciens en vue dans la «nouvelle Irlande». Gerry Fegan est devenu dangereux, il faut s’en débarrasser. Une double chasse à l’homme commence...</i></span></div>
<div class="p2" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">La guerre est terminée en Irlande du Nord, un nouvel équilibre tente de s’installer. Après une dizaine d’années de détention, Gerry Fegan sort de prison. Rongé par la culpabilité, il est hanté par les fantômes des victimes de son dernier attentat, ils les appellent "les suiveurs". Peu à peu "les suiveurs" deviennent si réels que Fegan ne voit d'autre solution que de les venger en tuant ses anciens acolytes qui ont orchestré l'attentat et il espère ainsi trouver la rédemption. Mais avec la fin de la guerre, certains de ses anciens "partenaires" se sont reconvertis en politiciens en quête de respectabilité et d’autres sont devenus des gangsters plutôt prospères. Alors, la vengeance de Fegan va déranger beaucoup de monde et mettre en péril le fragile processus de paix. Il va devenir l’homme à abattre. </span><span style="font-size: large;">Stuart Neville nous entraîne dans l’après-guerre civile nord-irlandaise, il nous dévoile ses enjeux, sa violence omniprésente et ses anciens militants toujours dévoués à leur cause qui peinent à trouver leur place dans cette nouvelle donne. Il porte un regard sans concession sur cette Irlande qui tente de se reconstruire mais dont les bases sont si fragiles qu’elles risquent de s’effondrer à la moindre tension. Un roman haletant, qui nous happe dès les premières pages. Le rythme est rapide, la violence et la tension présentes à chaque page, c’est terriblement efficace. Gros coup de cœur. Un auteur à suivre.</span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-29139466630609397192015-09-27T17:56:00.003+02:002015-11-01T17:35:26.549+01:00La disparition d’April Latimer, Benjamin BLACK<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1Mung7_b6XnOjLYIPGHRpDvfGgrJVfv7jLTxq5vTBwItUH1XVjDSa5kW_MxaazITKnRRkip0q8LX8D7t_CGkq3C6Jubghy3N5L3jNdomk_DnPgiFzrMDXl8io-FSd7VkMlgcYWft2YOoB/s1600/AprilLatimer.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1Mung7_b6XnOjLYIPGHRpDvfGgrJVfv7jLTxq5vTBwItUH1XVjDSa5kW_MxaazITKnRRkip0q8LX8D7t_CGkq3C6Jubghy3N5L3jNdomk_DnPgiFzrMDXl8io-FSd7VkMlgcYWft2YOoB/s200/AprilLatimer.jpg" width="121" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Dans la société dublinoise conservatrice des années 1950, April Latimer, jeune interne en médecine rebelle et indépendante, laisse dans son sillage un parfum de scandale. Quand Phoebe Griffin, sa meilleure amie, découvre qu’elle a disparu depuis une semaine, elle redoute le pire... et demande à son père, le brillant mais imprévisible médecin légiste Quirke, de l’aider à retrouver sa trace. Une histoire trouble qui lève le voile sur de terribles secrets mêlant sauvagerie familiale, cruauté religieuse et haine raciale.</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Benjamin Black est le pseudonyme de John Banville, écrivain irlandais récompensé en 2005 par le Booker Prize pour La Mer.</i></span></div>
<div class="p2" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<br />
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">Cette disparition d’April Lartimer semblait cacher bien des secrets, mais l’ensemble est très lent, le suspens quasi inexistant. En fait, l’enquête sert de prétexte à Benjamin Black pour dresser un portrait de la société irlandaise de cette époque. Et si on met de côté l’aspect « roman noir » et qu’on se laisse entraîner dans les rues de Dublin en suivant Phoebe et son père, on rencontre des personnages hétéroclites. On se réjouit de ces portraits qui prennent vie sous la plume très acérée de Black qui ne fait aucune concession, il égratigne avec plaisir cette société irlandaise étriquée qui ne laisse pas de place à la fantaisie. Et ses descriptions du Dublin des années 50 créent une atmosphère si particulière que l’on est engloutit peu à peu dans cette bruine omniprésente. Il ne faut pas chercher le frisson d’angoisse dans ce roman mais il faut plutôt se laisser envoûter par cette atmosphère et ces personnages que Black nous peint de façon si habile et non dénuée d’humour.</span><br />
<span style="font-size: large;"><br /></span>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-10572145847654712182015-06-28T18:35:00.000+02:002015-06-28T18:35:09.093+02:00La sentence de juillet, Jean-François Leblanc<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtDYY9O1CUpcrj6neuOls06S8u4CEqZaPSATzByIVZofCBNkAN1xDr-BTvqGy0W6NFnIjT96x_Sg5tl6-1qQRsCEZFwzT8r6WREAlpBhv0WaNX_Da7Z2sVTj9F1Guw-GMcfPsSjW_FVK3j/s1600/SentenceJuillet.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: justify;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtDYY9O1CUpcrj6neuOls06S8u4CEqZaPSATzByIVZofCBNkAN1xDr-BTvqGy0W6NFnIjT96x_Sg5tl6-1qQRsCEZFwzT8r6WREAlpBhv0WaNX_Da7Z2sVTj9F1Guw-GMcfPsSjW_FVK3j/s200/SentenceJuillet.jpg" width="128" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Montréal. Juillet 2012. Les étudiants manifestent en pleine canicule. Le cadavre de Catherine Grégoire est retrouvé transpercé de clous sur le toit d’un chantier de construction de l’arrondissement de verdun. Le crime appelle le crime, réveille les souvenirs tragiques et douloureux d’un infanticide particulièrement horrible. Jean Royer, Sergent-détective, vedette montante du SPVM, est chargé de l’enquête. Il sillonne la ville, avec le médecin légiste Raphaël Simard et le procureur criminel David Egan, sa Volvo C-30 baignée de jazz. Quel est le lien entre Robert Grégoire, le propriétaire des entreprises de construction Grégoire et Fils Inc., également père de la victime et ce meurtre abject ? Serait-ce la chaleur de l’été 2012 ?</i></span></div>
<div class="p2" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">Pas simple de chroniquer ce livre, je suis très mitigée. L’histoire en elle-même est captivante, le personnage de Jean Royer attachant, mais j’ai trouvé ça long, ça ne décolle pas. L’auteur nous noie dans des descriptions qui, à mon avis, n’apportent rien à l’intrigue, au contraire, elles alourdissent l’ensemble. Rien à redire sur le fond ou le déroulement de l’enquête et le dénouement est excellent, mais je me suis ennuyée, j’ai passé pas mal de pages pour conserver l’intérêt de l’histoire. Dommage, tous les ingrédients étaient là pour moi pour passer un bon moment de lecture mais je ne suis pas réceptive à ce style.</span></div>
<br />
<div class="p1" style="text-align: center;">
Merci à Babelio et aux Editions La Valette.</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihpGHjx7KlOLFNiXY6wZweYWNO1gWnYOm8-P6teUmXcVBJNZue-_TeqHUtGbjl_Fa4qQ1S8lTdjNn2aK9w1-20PqhzBDxAHhbY1GycTIcNCesn3u1DnO0xW2rNEggBHwrmCgQb5PjvnbzN/s1600/masseCritique.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihpGHjx7KlOLFNiXY6wZweYWNO1gWnYOm8-P6teUmXcVBJNZue-_TeqHUtGbjl_Fa4qQ1S8lTdjNn2aK9w1-20PqhzBDxAHhbY1GycTIcNCesn3u1DnO0xW2rNEggBHwrmCgQb5PjvnbzN/s1600/masseCritique.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<br /></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com5tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-43106639319948541862015-04-06T18:02:00.003+02:002015-04-06T18:02:58.890+02:00Sacrifices, Pierre Lemaître<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg59l4Qp0-0_-uLJc6WJC3pd5uI1gMH8FpQzA_BTu7D7DDbo05RbK5mRlH-luwTvJiDnUsdf0w12D3qIvh8Z9n6WaRI6ApbvvJ4dRZ3u1BOgoJljK3xmqJb1iyP88Ldop7Uhr0sOOF70WWU/s1600/Sacrifices.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg59l4Qp0-0_-uLJc6WJC3pd5uI1gMH8FpQzA_BTu7D7DDbo05RbK5mRlH-luwTvJiDnUsdf0w12D3qIvh8Z9n6WaRI6ApbvvJ4dRZ3u1BOgoJljK3xmqJb1iyP88Ldop7Uhr0sOOF70WWU/s1600/Sacrifices.jpg" height="200" width="123" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>"Un événement est considéré comme décisif lorsqu’il désaxe complètement votre vie. Par exemple, trois décharges de fusil à pompe sur la femme que vous aimez". Anne Forestier, la nouvelle compagne du commandant Verhoeven, est l’unique témoin d’un braquage dans une bijouterie des Champs-Elysées. Elle a été violemment tabassée et laissée pour morte. Atmosphère glaçante, écriture sèche, mécanique implacable : Pierre Lemaitre a imposé son style et son talent dans l’univers du thriller. Après "Alex", il achève ici une trilogie autour du commandant Verhoeven, initiée avec "Travail soigné". Par l’auteur de "Au revoir là-haut", prix Goncourt 2013.</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i><br /></i></span></div>
<br />
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">Et voici "Sacrifices" le dernier volet de la trilogie mettant en scène Camille Verhoeven, petit commandant de police, petit par la taille mais pas par le talent. Encore une fois, Pierre Lemaître arrive à nous surprendre et à nous tenir en haleine tout au long du roman. Comme dans "Travail soigné", la machinerie est parfaite et implacable, le rythme est haletant, et le personnage de Verhoeven est encore plus ciselé que dans les deux précédents opus. On le retrouve amoureux de Anne qui va être témoin d’un braquage dans une bijouterie et passée à tabac par un des braqueurs qui n’aura de cesse de la poursuivre. Verhoeven va alors faire cavalier seul au mépris le plus total de sa hiérarchie et des règles, il va mener son enquête, et pour cela, il va manipuler aussi bien les flics que les truands. Il sera toujours en équilibre instable, prêt à franchir la limite qui le fera tomber du mauvais côté. Et d’un simple braquage, Pierre Lemaître va nous entraîner dans une intrigue aux rebondissements totalement imprévisibles, il fait tomber toutes les certitudes que l’on aurait pu avoir sur la fin de l’enquête. Il sait créer une tension qui rend le lecteur totalement addict à l’histoire. Après "Travail soigné" et "Alex", "Sacrifices" met un point final à cette trilogie de façon magistrale, et je regrette déjà ces 145 cm de flic atypique !</span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHcpTT3KA4kQ4z9kKEHBGG3V7I6bPSwxLabevVGpP9GTfrh8ydAaPXN3hX76Hpwi-mfYWV1rgUiAWsLhDYl3cIxyQGaC9I1LIJyQ3ut_dfc4-6QdpckipeLrMcKworgXhdJg6eHRCeHzxW/s1600/Challenge2015xs.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHcpTT3KA4kQ4z9kKEHBGG3V7I6bPSwxLabevVGpP9GTfrh8ydAaPXN3hX76Hpwi-mfYWV1rgUiAWsLhDYl3cIxyQGaC9I1LIJyQ3ut_dfc4-6QdpckipeLrMcKworgXhdJg6eHRCeHzxW/s1600/Challenge2015xs.jpg" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-37861054156555923042015-04-06T17:01:00.001+02:002015-04-06T17:01:31.962+02:00Travail soigné, Pierre Lemaître<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifuEtnLk3McDr83FprwqWHk0qjylF03Bh7l2X9V06AAI-FuoIRf2UbHQNbmBLDD0gOr91GLArB_85kRNRn3q63p5-1VQYO4cFXB-cQ94Tjx9x_ZdegZzXaN7EF_yvh3H1FRB-3uVlaz4FM/s1600/Travail.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifuEtnLk3McDr83FprwqWHk0qjylF03Bh7l2X9V06AAI-FuoIRf2UbHQNbmBLDD0gOr91GLArB_85kRNRn3q63p5-1VQYO4cFXB-cQ94Tjx9x_ZdegZzXaN7EF_yvh3H1FRB-3uVlaz4FM/s1600/Travail.jpg" height="200" width="125" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Dès le premier meurtre, épouvantable et déroutant, Camille Verhoeven comprend que cette affaire ne ressemblera à aucune autre. Et il a raison. D’autres crimes se révèlent, horribles, gratuits… La presse, le juge, le préfet se déchaînent bientôt contre la "méthode Verhoeven". Policier atypique, le commandant Verhoeven ne craint pas les affaires hors normes mais celle-ci va le placer totalement seul face à un assassin qui semble avoir tout prévu. Jusque dans le moindre détail. Jusqu’à la vie même de Camille qui n’échappera pas au spectacle terrible que le tueur a pris tant de soin à organiser, dans les règles de l’art… Prix Cognac, 2006.</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i><br /></i></span></div>
<br />
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">J’avais été largement conquise par "Alex", ma première lecture de Pierre Lemaître et comme "Alex" est le second opus de la trilogie, il me fallait lire le premier pour voir si mon enthousiasme allait se confirmer ou pas. Et bien oui ! Pierre Lemaître m’a emportée une nouvelle fois dans son monde et même si au départ, je trouvais le roman "simple", cette impression a été de courte durée. L’auteur nous impose peu à peu un rythme bien pesé, angoissant, tout est dans la maîtrise : les personnages, l’intrigue, le suspens. Il est vrai que Camille Verhoeven et son équipe sont confrontés à une série de crimes hors normes de part leur cruauté et chaque piste qui se présente les mènent à une impasse. Ils sont dépassés par ce tueur méthodique qui les manipule, qui pénètre dans leur vie. L’efficacité de Verhoeven est remis en cause et même sa vie personnelle va se trouver bouleversée par cette affaire. Les scènes de crime sont particulièrement violentes et leurs descriptions plutôt difficiles à lire, et si elles nous plongent dans une folie sans limite, elles contribuent également à maintenir cette angoisse qui nous étreint du début à la fin et ne nous laisse aucun répit. Et ce polar mérite son titre, car c’est un bien un "Travail soigné" que nous livre Pierre Lemaître. A lire sans aucune modération.</span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHcpTT3KA4kQ4z9kKEHBGG3V7I6bPSwxLabevVGpP9GTfrh8ydAaPXN3hX76Hpwi-mfYWV1rgUiAWsLhDYl3cIxyQGaC9I1LIJyQ3ut_dfc4-6QdpckipeLrMcKworgXhdJg6eHRCeHzxW/s1600/Challenge2015xs.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHcpTT3KA4kQ4z9kKEHBGG3V7I6bPSwxLabevVGpP9GTfrh8ydAaPXN3hX76Hpwi-mfYWV1rgUiAWsLhDYl3cIxyQGaC9I1LIJyQ3ut_dfc4-6QdpckipeLrMcKworgXhdJg6eHRCeHzxW/s1600/Challenge2015xs.jpg" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-41812472788589264282015-03-15T19:13:00.001+01:002015-03-15T19:16:00.769+01:00La mort s'invite à Pemberley, P.D. James<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIThykCOrfVZw9dV4vlxQH_FW5AsJCUib_kh_0Yx62tNKn989Rwp6Hj8-m08KLIWMcZaztYhFbls8PvzxGTte0YCWbG1bjhprC87DdHsZhnfFkfBzwmQku1XZfflPxntokew5R7nWCLi_S/s1600/Pimberley.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIThykCOrfVZw9dV4vlxQH_FW5AsJCUib_kh_0Yx62tNKn989Rwp6Hj8-m08KLIWMcZaztYhFbls8PvzxGTte0YCWbG1bjhprC87DdHsZhnfFkfBzwmQku1XZfflPxntokew5R7nWCLi_S/s1600/Pimberley.jpg" height="200" width="128" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Rien ne semble devoir troubler l’existence ordonnée et protégée de Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, dans le Derbyshire, ni perturber le bonheur conjugal de la maitresse des lieux, Elizabeth Darcy. Elle est la mère de deux charmants bambins; sa sœur préférée, Jane, et son mari, Bingley, habitent à moins de trente kilomètres de là; et son père adulé, Mr Bennet, vient régulièrement en visite, attiré par l’imposante bibliothèque du château. Mais cette félicité se trouve soudain menacée lorsque, à la veille du bal d’automne, un drame contraint les Darcy à recevoir sous leur toit la jeune soeur d’Elizabeth et son mari, que leurs frasques passées ont rendu indésirables à Pemberley. Avec eux s’invitent la mort, la suspicion et la résurgence de rancunes anciennes.</i></span></div>
<div class="p2" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<div class="p2" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">Je suis fan d’"Orgueil et préjugés" </span><span style="font-size: large;">et quand j’ai vu que je pouvais retrouver les personnages du roman de Jane Austen dans un thriller, je n’ai pas hésité, surtout que je ne connaissais pas P.D. James et que l’occasion était trop belle pour la découvrir. Mais malheureusement, il ne reste rien de l’atmosphère si particulière de Jane Austen, sa façon de nous transporter dans une époque, d’évoquer les sentiments de personnages tout en nuances. Car si Lizzie et Darcy sont bien présents, ils n’ont plus la même consistance ni la même aura que dans le roman de Jane Austen. Elizabeth est devenue une mère de famille effacée, on ne retrouve pas la fougue dont elle faisait preuve. Le personnage de Darcy paraît bien fade lui-aussi, il a perdu son arrogance légendaire et son charme. En fait, Pemberley et ses habitants ne servent que de "théâtre" à un thriller qui lui non plus ne m’a pas passionnée. L’intrigue est lente, trop convenue et se déroule sans suspens, les personnages sont plus spectateurs qu’acteurs de ce qui se passe. Et même si le style n’est pas désagréable, c’est une lecture sans passion. Fans de Jane Austen, passez votre chemin, et quant à moi, il me faudra un autre roman de P.D. James pour me faire vraiment une idée de cette auteure.</span><br />
<span style="font-size: large;"><br /></span>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB38ToPb-5b-HW5D0UoVCVGitBqAq5TKegS6CRjuKY9JRirzl8ZhvZBSKsrczuBem5MBdhYnB1f0CynKPYbdJ_enjT-BJ7GAzveEKnrJvkIkQdrtQSU2awSRIHmqu7HfY_94kPs0R6wJ2l/s1600/les-dames-en-noir.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB38ToPb-5b-HW5D0UoVCVGitBqAq5TKegS6CRjuKY9JRirzl8ZhvZBSKsrczuBem5MBdhYnB1f0CynKPYbdJ_enjT-BJ7GAzveEKnrJvkIkQdrtQSU2awSRIHmqu7HfY_94kPs0R6wJ2l/s1600/les-dames-en-noir.jpg" height="97" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6iWp1YE6hXGows8htlB8D3TpSRTJ_zOlRgUgVIGCdcFuixBJzOY662YFMwJBtCNUuUUT8MJ1EvDBQ-tK5DaLpwC1va6nuSxwRwYQ98iSvrfEeJ6hjhFHuN9oRR_NQacS-0gyhoOZ8JNAt/s1600/Challenge2015xs.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6iWp1YE6hXGows8htlB8D3TpSRTJ_zOlRgUgVIGCdcFuixBJzOY662YFMwJBtCNUuUUT8MJ1EvDBQ-tK5DaLpwC1va6nuSxwRwYQ98iSvrfEeJ6hjhFHuN9oRR_NQacS-0gyhoOZ8JNAt/s1600/Challenge2015xs.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-6986885009317395147.post-89929529328367150192015-02-21T18:22:00.003+01:002015-02-21T18:22:47.741+01:00Viscères, Mo Hayder<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjyuMPSqNcjO0xIPZu1e3fLF8-GBGFeniZXfm1uoLUVsmoRLxHFSguLf5bBolHhBsh8GrsblBXwJKpkoPmQnh22L8By1tgptjxBDvFd7gQUuAe647nXpNbtSXThEo9JDbexw2z1rxCrPnru/s1600/visceres.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjyuMPSqNcjO0xIPZu1e3fLF8-GBGFeniZXfm1uoLUVsmoRLxHFSguLf5bBolHhBsh8GrsblBXwJKpkoPmQnh22L8By1tgptjxBDvFd7gQUuAe647nXpNbtSXThEo9JDbexw2z1rxCrPnru/s1600/visceres.jpg" height="200" width="121" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Et si votre pire cauchemar recommençait ? Une nouvelle enquête de Jack Caffery.</i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>Il y a quinze ans, deux amoureux ont été retrouvés sauvagement éviscérés dans le bois attenant à la maison de campagne des Anchor-Ferrers. Le principal suspect, qui a avoué les crimes, est depuis sous les verrous. Mais aujourd’hui, alors que Oliver, Matilda et leur fille, Lucia, n’ont pas oublié cette découverte macabre, l’histoire se répète, plongeant la famille dans la terreur. </i></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><i>En grand peintre de l’angoisse, Mo Hayder nous livre une série de tableaux sanglants, dans lesquels le commissaire Jack Caffery, toujours hanté par la disparition de son jeune frère, est plus vulnérable que jamais.</i></span></div>
<div class="p2" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">J’irai droit au but : gros coup de cœur pour ce dernier roman de Mo Hayder, son esprit tortueux a encore frappé !</span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">Elle met en parallèle deux intrigues, et l’on sait pertinemment qu’un moment ou un autre, les deux vont se fondre en une seule, mais quand et comment…</span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">D’un côté, nous avons la famille Anchors-Ferrers qui est dans sa résidence secondaire du Somerset. Des années plus tôt cette famille avait été témoin de la mise en scène macabre de l’assassinat de deux jeunes amoureux et même si le coupable avait été arrêté, leur vie en avait été bouleversée. Et aujourd’hui Oliver, le père, Matilda, la mère et Lucia, la fille, se retrouvent face à cette même horreur et la terreur les gagne peu à peu. Mais arrivent les inspecteurs de police Molina et Honey qui enquêtent sur un autre crime…</span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">De l’autre côté nous retrouvons Jack Caffery, toujours fidèle à lui-même, hanté par la disparition de son jeune frère, victime d’un pédophile qui est mort en emportant avec lui le secret de cette disparition. A aucun moment durant toutes ces années, Caffery n’a réussi à réunir suffisamment de preuves pour faire inculper celui qu’il juge responsable de cette disparition et aujourd’hui, sans plus aucun témoin, il est totalement désemparé de ne pas trouver le moindre indice qui pourrait l’aider à relancer son enquête. Et quand une piste apparaît, il se retrouve à nouveau confronter au Marcheur, ce vagabond dont la fille a été assassinée elle aussi par un pédophile des années auparavant. Le Marcheur lui propose un deal : il a recueilli une petite chienne errante, si Caffery retrouve ses propriétaires, il lui dira ce qu’il veut savoir…</span></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;">Et à partir de là, Mo Hayder va nous balader d’une intrigue à l’autre, ses chapitres courts donnent un rythme infernal au roman. L’angoisse et la tension vont crescendo et le lecteur est entraîné dans une spirale infernale de la première à la dernière page. Les personnages se dévoilent peu à peu, leur noirceur ou leurs failles sont mises à jour, et les convictions du lecteur s’écroulent sous la plume implacable de Mo Hayder. Le tout se termine en apothéose et l’on ne peut que saluer une fois encore la maestria de Mo Hayder. </span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDgEZij1rG37Omh90rMeFMruhjySEtSNLeZfwb1-PFA1J5LLYbLSTWHCgZ8s4760dyvHqf87hXCmYUt4NNggK7PMvHfYC7VNpt9A5v1chqLWj2z25EOM1YEoxpg7uEd8RjHgv_fVV8s7sD/s1600/masseCritique.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDgEZij1rG37Omh90rMeFMruhjySEtSNLeZfwb1-PFA1J5LLYbLSTWHCgZ8s4760dyvHqf87hXCmYUt4NNggK7PMvHfYC7VNpt9A5v1chqLWj2z25EOM1YEoxpg7uEd8RjHgv_fVV8s7sD/s1600/masseCritique.jpg" height="63" width="200" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<div style="text-align: center;">
<i><span style="font-size: large;">Merci aux Presses de la Cité et à Babelio</span></i></div>
<div style="text-align: center;">
<i><span style="font-size: large;">pour cet "haletant" moment de lecture.</span></i></div>
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB38ToPb-5b-HW5D0UoVCVGitBqAq5TKegS6CRjuKY9JRirzl8ZhvZBSKsrczuBem5MBdhYnB1f0CynKPYbdJ_enjT-BJ7GAzveEKnrJvkIkQdrtQSU2awSRIHmqu7HfY_94kPs0R6wJ2l/s1600/les-dames-en-noir.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB38ToPb-5b-HW5D0UoVCVGitBqAq5TKegS6CRjuKY9JRirzl8ZhvZBSKsrczuBem5MBdhYnB1f0CynKPYbdJ_enjT-BJ7GAzveEKnrJvkIkQdrtQSU2awSRIHmqu7HfY_94kPs0R6wJ2l/s1600/les-dames-en-noir.jpg" height="97" width="200" /></a> </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHcpTT3KA4kQ4z9kKEHBGG3V7I6bPSwxLabevVGpP9GTfrh8ydAaPXN3hX76Hpwi-mfYWV1rgUiAWsLhDYl3cIxyQGaC9I1LIJyQ3ut_dfc4-6QdpckipeLrMcKworgXhdJg6eHRCeHzxW/s1600/Challenge2015xs.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHcpTT3KA4kQ4z9kKEHBGG3V7I6bPSwxLabevVGpP9GTfrh8ydAaPXN3hX76Hpwi-mfYWV1rgUiAWsLhDYl3cIxyQGaC9I1LIJyQ3ut_dfc4-6QdpckipeLrMcKworgXhdJg6eHRCeHzxW/s1600/Challenge2015xs.jpg" /></a></div>
<div class="p1" style="text-align: justify;">
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
Izaghhttp://www.blogger.com/profile/00596061647568143071noreply@blogger.com2