lundi 14 juillet 2014

61 heures, Lee Child


Dakota du Sud, plein hiver, température polaire et blizzard infernal. Perdu dans ce désert d’un blanc aveuglant, un bus rempli de seniors tente de rallier la bourgade de Bolton. Mais après avoir évité une collision, le chauffeur, pourtant expérimenté, ne peut redresser son véhicule qui fi nit encastré dans une congère. L’ex-policier de la marine Jack Reacher, qui se trouvait lui aussi dans le bus, propose son aide aux autorités locales pour évacuer ses vieux copassagers dépassés par l’accident. Sauf que Bolton abrite l’une des plus grandes prisons des États-Unis et que la révolte y gronde. Et qu’un chef de gang de motards, arrêté pour trafi c de drogue, attend son procès avec ses bikers menaçant d’enlever le seul témoin du deal, la bibliothécaire Janet Salter.
Encore une fois, Jack Reacher propose son aide… et se retrouve embarqué dans une histoire où gangsters, policiers corrompus, trafi c de drogue international et tueur en liberté cachent une réalité d’une violence grandissante. Un problème pour Reacher ? Pas sûr...

Jack Reacher : le retour ! L’excellent héros récurrent de Lee Child nous entraîne une nouvelle fois dans ses aventures. Dans "61 heures", cet ancien flic de la police militaire qui voyage à travers les Etats-Unis avec en poche sa carte bancaire, son passeport et sa brosse à dents, se retrouve coincé à Bolton, petite ville du Dakota du Sud en pleine tempête de neige. Ce qui a priori devrait être une situation des plus banales, va être le début d’ennuis pour notre héros. En effet Bolton n’est pas la première ville touristique de la région, ses habitants et sa police sont confrontés à une situation explosive où se mêlent vieille dame charmante en sursis poursuivie par un tueur mystérieux, bande de bikers, chef de cartel mexicain… le tout avec en toile de fond le blizzard et ce compte à rebours qui égraine les heures et nous fait plonger dans l’intrigue à pieds joints. Si ces ingrédients peuvent apparaître comme du déjà-vu, Lee Child maîtrise l’art de nous entraîner dans un suspens maîtrisé et il n’oublie pas les personnages secondaires qui donnent toute son envergure à Jack Reacher. Et notre héros qui n’a rien d’un superman, est toujours égal à lui-même, et c’est ainsi qu’on l’aime !


2 commentaires:

  1. j'aime beaucoup Lee Child ! le gag c'est que je réalise que je n'ai jamais chroniqué un seul de ses bouquins ! va peut être falloir que je comble cette lacune à l'occasion. Ce roman là je n'ai par contre pas encore eu le temps de le lire ! je n'ai que deux yeux, c'est bien là le problème ;) Amitiés

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  2. Lee Child entre dans mon top 10 de mes auteurs favoris, et j'adore son personnage de Jack Reacher, et avec "61 heures", j'ai passé un bon moment, tu me diras ce que tu en penses. A bientôt

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