Poignardée, abandonnée agonisante, la jeune prostituée afghane n’est que la première victime… Une enquête de l’inspecteur Rickman, nouveau héros de la série de Margaret Murphy, grande reine britannique du roman noir.
Suite à ce meurtre odieux, quatre Irakiens sont retrouvés brûlés vifs. Crimes racistes ? Règlements de comptes ? À Liverpool, l’atmosphère devient explosive : la colère et la haine intercommunautaires se déchaînent.
Pour l’inspecteur Rickman et ses coéquipiers Lee Foster et Naomi Hart, cette affaire est un véritable défi : comment briser le mur de silence érigé par les réfugiés ? La bonne vieille méthode – apprends à connaître la victime, tu découvriras le tueur – , se révèle ici inapplicable : comment enquêter sur des anonymes, des fantômes revenus de l’enfer
La question devient d’autant plus cruciale pour Rickman que l’assassin est bien déterminé à l’entraîner dans un piège mortel ...
En lisant le texte de la couverture, j’étais impatiente de commencer ma lecture. Mais… déception ! On a l’impression que l’histoire est un millefeuilles : une couche avec la gentille doctoresse, une couche avec le frère qui revient 25 ans plus tard totalement amnésique, une couche de méchant, une autre couche d’un autre méchant mais qui au premier abord est un gentil… Bref, je me suis ennuyée. L’histoire traîne, cousue de fil blanc. L’exemple le plus flagrant c’est l’arrivée de l’ami d’enfance de Natalja (l’interprète de la gentille doctoresse) et là, dès les premières lignes on devine que c’est lui le méchant qui tire les ficelles…
Et pour couronner le tout, l’amitié virile entre les deux flics : Foster n’hésite pas à enfreindre la loi pour son copain Rickman !!
Bref, du vu et revu, plutôt du « lu et relu » !
Suite à ce meurtre odieux, quatre Irakiens sont retrouvés brûlés vifs. Crimes racistes ? Règlements de comptes ? À Liverpool, l’atmosphère devient explosive : la colère et la haine intercommunautaires se déchaînent.
Pour l’inspecteur Rickman et ses coéquipiers Lee Foster et Naomi Hart, cette affaire est un véritable défi : comment briser le mur de silence érigé par les réfugiés ? La bonne vieille méthode – apprends à connaître la victime, tu découvriras le tueur – , se révèle ici inapplicable : comment enquêter sur des anonymes, des fantômes revenus de l’enfer
La question devient d’autant plus cruciale pour Rickman que l’assassin est bien déterminé à l’entraîner dans un piège mortel ...
En lisant le texte de la couverture, j’étais impatiente de commencer ma lecture. Mais… déception ! On a l’impression que l’histoire est un millefeuilles : une couche avec la gentille doctoresse, une couche avec le frère qui revient 25 ans plus tard totalement amnésique, une couche de méchant, une autre couche d’un autre méchant mais qui au premier abord est un gentil… Bref, je me suis ennuyée. L’histoire traîne, cousue de fil blanc. L’exemple le plus flagrant c’est l’arrivée de l’ami d’enfance de Natalja (l’interprète de la gentille doctoresse) et là, dès les premières lignes on devine que c’est lui le méchant qui tire les ficelles…
Et pour couronner le tout, l’amitié virile entre les deux flics : Foster n’hésite pas à enfreindre la loi pour son copain Rickman !!
Bref, du vu et revu, plutôt du « lu et relu » !
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